2025
推荐
2025
餐厅环境整洁,有一个可爱的天井,提供基于新鲜产品的传统美食。
在港口边的玫瑰色外墙下,Nadia 的餐厅被贴上了 Maître Restaurateur(餐厅经理)的标签,店内环境优美,摆放着橱窗、绳索、铜制灯具、漂亮的小巷和露台。Une cuisine traditionnelle, à base de produits frais avec une prédilection pour les poissons et fruits de mer.特色菜有:choucroute de la mer ou lieu jaune façon haddock fumé et Coppa des Pyrénées, à précéder d'un foie gras ou du soufflé de langoustines, légumes et fève Tonka.鱼类爱好者们则会喜欢鳕鱼、鳕鱼丸子和鳕鱼丸子。
你知道吗? 本评论由我们的专业作者撰写。
广告
广告
与我们的合作伙伴一起组织您的旅行 诺尔穆捷昂莱尔
运输
预订您的航班机票
自行车租赁
住宿和停留
查找酒店
假日出租
寻找你的露营地
量身定制的旅行
服务/现场
活动和访问
激活 VPN
申请签证
旅行保险
成员的意见LA BISQUINE
4.5/5
109 通知
质量/价格比
厨房质量
原创性
框架/联盟
服务
以下评分和评论反映的是会员的主观意见,而非 The Little Witty 的观点。
访问于四月 2025
Service +++ et cuisine fine et délicieuse. Très très bonne adresse. Mon fils a pu avoir une deuxième assiette du délicieux poisson.
访问于四月 2025
Très bonne table avec un personnel de service très compétent et agréable
访问于四月 2025
Très décevant, première fois dans ce restaurant, nous avons voulu nous faire plaisir en prenant le menu à 40€. En entrée le soufflé aux langoustines...totalement insipide, aucun goût, ensuite un filet de dorade aux petits légumes ( on passe les arêtes en grand nombre) les petits légumes... purée de pomme de terre et pomme de terre!!! Et pour finir le dessert on commence par le gâteau à l'ananas brûlé et sans goût, et le brownie du dimanche servi le mercredi réchauffé au micro-ondes, sec sec très sec... bref une grosse déception
访问于四月 2025
Il y a des noms qui claquent comme une voile au vent. La Bisquine en fait partie. Un mot salé, un mot de marins. On imagine déjà les embruns, le crissement du bois mouillé, l’éclat de l’écume sur les vitres. Mais derrière ce nom chantant, il fallait voir si le goût suivait.
Car Noirmoutier, si belle soit-elle, est aussi un piège pour le palais. Trop de restaurants s’y contentent de servir la mer tiède, en vitrine, déguisée sous des mousselines prétentieuses ou des sauces noyées de crème. Trop de promesses. Trop peu d’âme.
Et puis il y a La Bisquine.
Dès l’entrée, quelque chose vous saisit. Ce n’est pas un effet de style, c’est une sensation plus rare : celle que l’on a quitté le monde des cartes touristiques pour entrer dans une maison tenue par des gens qui savent. Et qui respectent.
On vous parle doucement, mais avec assurance. On vous décrit les plats sans réciter une poésie apprise. On sent que la cuisine ici est une langue maternelle.
Le pain, d’abord, maison évidemment, tiède, à la croûte sonore. Une attention qui dit beaucoup. Puis l’assiette : un merlu juste saisies, sur un lit de risotto , un trait de mandarine, discret mais déterminant. Un plat de silence. Le genre qui suspend les conversations.
Un plat d’apparente simplicité, mais d’une justesse rare. Le poisson fond, le jus caresse, les herbes percent. Rien de trop. Tout est là. J’ai fermé les yeux. Je ne sais pas combien de temps. Je n’avais plus faim : j’étais en voyage.
Le dessert ? Une tarte fine à la fleur de sel et une crème brûlée, servie avec un sorbet à la vanille. Insolente audace. Délicieuse justesse.
À La Bisquine, on ne cherche pas à en mettre plein la vue. On préfère viser le cœur. Et c’est réussi. Il y a du vent, du feu, de la maîtrise. Mais surtout, il y a cette chose impalpable que l’on appelle sincérité.
Et c’est cela, en fin de compte, qui fait la grandeur d’un restaurant : sa capacité à vous rappeler que manger peut encore être un acte de poésie.
Car Noirmoutier, si belle soit-elle, est aussi un piège pour le palais. Trop de restaurants s’y contentent de servir la mer tiède, en vitrine, déguisée sous des mousselines prétentieuses ou des sauces noyées de crème. Trop de promesses. Trop peu d’âme.
Et puis il y a La Bisquine.
Dès l’entrée, quelque chose vous saisit. Ce n’est pas un effet de style, c’est une sensation plus rare : celle que l’on a quitté le monde des cartes touristiques pour entrer dans une maison tenue par des gens qui savent. Et qui respectent.
On vous parle doucement, mais avec assurance. On vous décrit les plats sans réciter une poésie apprise. On sent que la cuisine ici est une langue maternelle.
Le pain, d’abord, maison évidemment, tiède, à la croûte sonore. Une attention qui dit beaucoup. Puis l’assiette : un merlu juste saisies, sur un lit de risotto , un trait de mandarine, discret mais déterminant. Un plat de silence. Le genre qui suspend les conversations.
Un plat d’apparente simplicité, mais d’une justesse rare. Le poisson fond, le jus caresse, les herbes percent. Rien de trop. Tout est là. J’ai fermé les yeux. Je ne sais pas combien de temps. Je n’avais plus faim : j’étais en voyage.
Le dessert ? Une tarte fine à la fleur de sel et une crème brûlée, servie avec un sorbet à la vanille. Insolente audace. Délicieuse justesse.
À La Bisquine, on ne cherche pas à en mettre plein la vue. On préfère viser le cœur. Et c’est réussi. Il y a du vent, du feu, de la maîtrise. Mais surtout, il y a cette chose impalpable que l’on appelle sincérité.
Et c’est cela, en fin de compte, qui fait la grandeur d’un restaurant : sa capacité à vous rappeler que manger peut encore être un acte de poésie.
Le prix devrait être revalorisé à mon goût .
Au moment du règlement nous avons dû attendre debout devant la caisse pendant 10 minutes