LE GRAND BLEU

un endroit paradisiaque mais gardant ce côté simple. on s'y bien, il faut propre, l'ambiance malagasy est bien présente, pas loin dans le village, bref on y passe des journées merveilleuses, idéal pour 2 à 3 nuits

Etablissement que je vous conseille vivement!!! Nous y avons passé un week-end en amoureux, au calme. C'est un endroit discret, loin de tout public (contrairement aux autres hôtels que nous avons essayés où nous nous sommes sentis envahis).Les bungalows sont climatisés (selon le choix) et notre intimité y est respectée. L'acceuil y était très agréable et les grillades ainsi que le sorbet au fruit de la passion est à ne pas manquer! Nous y retournons pour nos prochaines vacances!

Nous avons passe l'annee derniere un agreable sejour au Grand Bleu dans notre periple vers Sainte Marie : d'apres nous, c'est le seul etablissement de charme a Foulpointe. Les peids dans l'eau et dans un magnifique jardin, l'endroit est vraiment reposant et ideal pour une halte de 2/3 jours !

Hôtel catastrophique, n’y allez surtout pas. Des scolopendres dans les bungalows et dans les chambres, l’état de l’établissement est désastreux (je suis bien conscient que lorsque l’on se rend à Foulpointe, on ne doit pas s’attendre à séjourner dans un 5 étoiles, mais il y a quand même des limites, surtout que le peu de photos existant sur le site de l’hôtel ne vous laisse jamais présager cela), la « villa » n’est en fait constituée que de 2 misérables pièces toutes petites, séparées par un rideau (la sale de bain elle aussi ne possède qu’un rideau en guise de porte, ce qui fait lorsque vous avez besoin d’aller aux toilettes, vous vous trouver à même pas 1m50 de la personne dormant dans le lit le plus proche), La nourriture est chère et vraiment très moyenne et pour finir, lorsque ma famille est moi avons eu la malchance de nous rendre compte dans quelle galère nous nous étions embarqués (le soir même de notre arrivée), il ne nous a jamais été possible de nous faire réellement rembourser (la propriétaire se trouvant à Tamatave m’a même raccroché au nez).