avis_word MONASTERO DI SAN GREGORIO AL CELIO 羅馬

Rassemblement et prières

Nous avons réservé deux nuits ici par l'intermédiaire de Monastery Stays. Il s'agit d'un monastère rattaché à une église. Pour entrer, il faut franchir les portes de l'église, puis se diriger vers les portes où l'on sonne. Il n'y a pas d'ascenseur et nous avons dû monter plusieurs étages pour accéder à la chambre. La chambre est simple, avec un bureau, une armoire et une salle de bain attenante. Il y a une belle terrasse où l'on peut se détendre. Il n'y a pas de petit-déjeuner mais il y a une allocation journalière de € pour des articles dans le distributeur automatique. Notez que vous ne pouvez payer qu'en liquide, et seulement à certaines heures de la journée (de 8 à 9 heures du matin si je me souviens bien), alors prenez-en note lorsque vous planifiez votre journée. Il y a des heures d'enregistrement spécifiques, mais vous pouvez partir à tout moment en laissant vos clés à la porte de la chambre. L'anglais était un peu difficile mais la présidente de la réception était patiente et gentille. Il y a des stations de bus/tram/métro à proximité. Le Circo Massimo, le Forum romain et le Colisée sont accessibles à pied. Les restaurants et les boutiques ne sont pas à proximité immédiate mais ne sont pas trop éloignés. Il semble y avoir un grand parking sur place mais nous n'en avons pas eu besoin.

Non loin du Palatin et du Circus Maximus se dresse, au cœur de la colline de Caelius, la majestueuse basilique médiévale dédiée au saint pontife Grégoire, qui passa une partie de sa vie dans ce lieu enchanteur à la fin du VIe siècle. Grâce au silence qui règne dans toute la zone, le site se prête facilement à des moments de méditation, sans pour autant perdre les innombrables informations historiques et artistiques de premier ordre qu'il offre dans son ensemble.
Ce n'est pas un hasard si c'est ici que fut enterrée sa mère Silvia, à qui est dédié l'oratoire qui porte son nom ; ce n'est pas un hasard si c'est ici que le Saint fonda l'oratoire dédié à Saint-André, où l'on trouve des œuvres de Domenichino, Pomarancio et Reni ; ce n'est pas un hasard si c'est à l'Oratoire de Sainte-Barbe que Grégoire a vécu pendant longtemps, et c'est ici qu'il donnait quotidiennement l'hospitalité à 12 pauvres pour la cantine grâce à une plaque de marbre, (triclinium), encore visible et célèbre pour le miracle de l'Ange qui, à une occasion, est apparu à la cantine comme le 13ème dîneur habillé avec les vêtements d'un pauvre homme. En fait, Grégoire décida de le nourrir quand même.
Sur la table se trouve la gravure latine du miracle : "Bissenos hoc Gregorius pascebat egentes - Angelus et decimus tertius accubuit"
"Ici, saint Grégoire a nourri 12 pauvres et un ange s'est assis à la treizième place.
S'asseoir à 13 à table n'était pas un bon signe à l'époque - et pas seulement à l'époque - car cela rappelait la trahison de Jésus par Judas lors de la dernière Cène. Néanmoins, par ce geste - et selon la vision chrétienne - Grégoire a essayé de faire comprendre aux gens la grandeur de l'amour, capable de pardonner même la trahison.
Grégoire a été un grand innovateur et ce n'est pas un hasard si on lui a donné le nom de "Magnus".
À cet égard, il convient d'ouvrir une petite parenthèse pour rappeler que, grâce à lui, la liste des péchés capitaux est passée de 8 à 7 : la tristesse a été incorporée à l'acédie, la vanité à l'orgueil et l'envie a été introduite, malgré la liste que le moine Evagrius Ponticus avait dressée au IVe siècle et qu'il avait en fait formalisée.
Bref, grâce à l'exemple de Grégoire, l'Eglise a suivi l'acte charitable de la cantine, à tel point que les Papes successifs ont adopté cette coutume pendant la Semaine Sainte - et le jeudi plus précisément - en accueillant 12 pauvres.
Une tradition qui a perduré jusqu'en 1870, précisément pour conjurer les superstitions futiles et trompeuses.

Enfin, les 3 Oratoires adjacents à la Basilique font partie du complexe officié par les Camaldules.
Malheureusement, les sites ne peuvent pas être visités en semaine. La basilique elle-même est fermée et il n'est possible que d'entrer dans l'atrium, de descendre les marches et de visiter la cour d'entrée.

À ne pas manquer, l'ancienne montée de la Via Clivo di scauro, du côté est, pleine de surprises, d'une beauté incomparable et capable de nous plonger dans une autre époque.
Un site à visiter.
Quatre étoiles, ne serait-ce que pour les heures de visite très courtes.

L'église paroissiale de St. Gregory al Celio est un lieu paisible et majestueux, chargé d'histoire.
J'ai été frappée par la beauté de son architecture et la sérénité des jardins qui l'entourent.
L'emplacement est légèrement à l'écart des principaux sentiers touristiques, ce qui rend la visite plus intime.
À l'intérieur, les œuvres d'art et les décorations anciennes créent une atmosphère profondément spirituelle.
Il est facile d'y accéder et il y a des bancs à proximité pour s'asseoir et admirer la vue.
La lumière filtrant à travers les arbres ajoute au charme, surtout par temps ensoleillé.
J'ai visité le site un jour de semaine, et il n'y avait pas du tout de monde.
Cela m'a permis de prendre mon temps et de profiter de l'ambiance tranquille.
C'est également un endroit idéal pour la photographie, surtout si vous vous intéressez aux bâtiments historiques.
Je vous recommande vivement de vous y arrêter si vous explorez le quartier de Celio Hill à Rome.
Même si vous n'êtes pas croyant, la valeur culturelle et historique de cette église est indéniable.
C'est l'un de ces joyaux cachés qui laisse une impression durable.

Très impressionnant, avec une vue sur le Colisée et le forum romain. Construite sur la colline avec le couvent où Mère Teresa de Calcutta a séjourné, elle vaut vraiment la peine d'être visitée avec un guide des religieuses et aux heures fixées

j'y suis restée quatre nuits. j'aime les moines bénédictins, les chants grégoriens et les jours d'obligation le matin. Je suis très satisfait de l'église du monastère. le Colisée est à cinq minutes de marche et les liaisons de transport sont faciles.

La belle église de San Gregorio Magno al Celio, datant du XVIIe siècle, mérite un coup d'œil, ne serait-ce que pour voir le pavement cosmatesque merveilleusement préservé.

Belle église, nous n'avons pas visité l'intérieur, mais nous nous sommes promenés autour.

L'intérieur de l'église est magnifique et deux œuvres de Rembrandt y sont actuellement exposées.

Il était magnifique lorsque je suis passé devant !

Simple et de bon goût.

Une autre église impressionnante dans un monastère

Malheureusement, l'église était fermée et nous n'avons pas pu la visiter.

Logement des frères camaldules...très confortable, pratiquement au centre...près du colosseum

Un très beau temple auquel on accède par des escaliers à travers un cloître. Il faut sonner la cloche pour être autorisé à entrer. On peut y acheter des huiles, du savon ou du thé.

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magnifique, à visiter

Un lieu plein de charmes ....

Best in Roma.

Nous étions les hôtes du monastère qui possède une maison d'hôtes.... chambre petite et spartiate pas de changement de draps en 4 jours et le petit déjeuner [ inclus] était un distributeur de café et de croissant avec un plafond de 1,50 par jour..... je l'ai aimé et je le recommanderais9 car il est stratégique pour le colisée à l'arrêt de métro circo massimo et donc pour le centre....

L'église a été construite sur le site de la maison de Saint Grégoire le Grand

De construction plus récente que la plupart des églises de Rome, elle présente des images anciennes à l'intérieur. Pour les visites, il faut sonner à la Porteria, à l'extrémité droite de la cour.

A côté de cette grande église se trouve la maison où vécut Mère Teresa de Calcutta. L'ordre des sœurs de Mère Teresa est actif et vous pouvez visiter leur maison. À l'intérieur se trouvent le lit et la chambre de Mère Teresa, ainsi que l'endroit où elle priait avec les autres sœurs devant un magnifique crucifix. En entrant, on ressent immédiatement l'amour et la joie qui émanent de l'endroit.

Visitez également le couvent des Sœurs de la Charité qui se trouve à côté de l'église.

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La façade actuelle date du XVIIe et XVIIIE. L'église fut en effet profondément remaniée en 1633 et 1725. Elle est en réalité très ancienne. Au VIe siècle, le Pape Grégoire premier a fait construire ici un monastère dans lequel il vécut puis en 575 une petite église à l'origine de celle actuelle. Cette zone était très populaire dans l'antiquité. On a retrouvé des vestiges d'anciennes tavernes, d'immeubles de rapport ( insulae), d'autels païens puis de maisons romaines datant du IIIe siècle (on peut visiter les vestiges de l'une d'elles juste à côté, sous la basilique Saint Jean et Paul). C'est dans ces Domus nobles que furent fondés les premiers lieux du culte chrétien. Ils furent à l'origine de la construction de la basilique Saint Jean et Paul, puis du monastère et de l'église sans Gregorio. Dans la tradition des pèlerinages chrétiens, celle-ci offre quelques lits d'hébergement. Belle atmosphère verdoyante, au coeur de la Rome antique et au calme du Celio

L'église où mes parents se sont mariés en 1964

Il est toujours fascinant de pénétrer dans cette église, siège de saint Grégoire

Je suis entré dans le cloître. Il y avait une porte avec un panneau me demandant de sonner une cloche pour entrer et j'ai décidé de ne pas le faire.

L'église est très belle et très paisible, à côté du parc archéologique de Celio.

Une église se dresse sur la colline de Caelius, en face des palais impériaux du Palatin.
Cette zone a appartenu à la Gens Anicia, à laquelle appartenait saint Grégoire le Grand, qui y a construit au VIe siècle un monastère puis une église, agrandie à plusieurs reprises puis restaurée dans sa forme actuelle par le cardinal Scipione Borghese.