L'ENTRECÔTE

Mon ami arrivais d'ici 2min mais apres quelques minutes d'attentes et pour une fois où il n'y a pas réellement de queue et que le restaurant est totalement vide, l'hôte fait passé des gens devant nous et ne m'installe pas a table. Etant commerçante dans le coin, je n'y remettrai plus un pied. La base c'est au moins d'installé les clients quand sont restaurant est vide. Merci grâce a vous ont a finis au restaurant d'en face ou le personnel etait bien plus accueillant.

Refuse les réservations pour Handicapes qui ne peuvent pas faire la queue pour raison de santé
On fait comment patron ?
On va ailleurs ?

Le restaurant se veut "chic", ce n'est pas le cas. 23 € le menu pour une assiette de frites froides et quatre pauvres morceaux de viande. Je suis venu principalement pour la viande et c'est décevant. La viande n'a aucun goût et est seulement là pour être le réceptacle d'une sauce qui est elle-même médiocre. Ce "restaurant" est comparable à un fast-food en termes de qualité des produits et des repas. Sinon, je me suis à un moment senti comme dans un self, avec la cantinière qui fait les tours de table en demandant si on voulait du rab de frites... Autre que le prix et le goût, le staff pour la plupart est souriant et sympathique, et la propreté est impeccable. Je ne recommande pas si vous cherchez à manger une bonne coupe de viande, par contre, si vous voulez faire semblant d'avoir de l'argent et être important, c'est le lieu idéal.

Nous sommes venus dîner le lundi 30 juin 2025 et avons vécu une expérience très appréciable grâce à la serviabilité notable de Sami, jusqu’au moment du paiement.

En outre, le restaurant subissant un problème technique, les paiements par carte bancaire effectués sans contact ne pouvaient être pris ce jour là. Toutefois, mon conjoint et moi-même, n’avions que nos téléphones pour procéder au paiement. Une serveuse portant une tenue rouge est alors venue nous faire la morale en nous rappelant qu’il est illégal de ne pas posséder deux moyens de paiement différents tout en se permettant de terminer son argumentation par la phrase transpirant d’illégalité suivante : « Sinon, ce sont nos serveuses qui paient ».

Chers lecteurs, procédons alors à un rappel juridique qui ne fera pas de mal à cette dame, en espérant que l’établissement ne partage pas ses menaces : l’article L. 1331-2 du Code du travail interdit les retenues sur salaire ou autres sanctions pécuniaires à l’encontre des salariés et l’article L. 1334-1 de ce même code précise que le non respect de cette interdiction est puni d’une amende de 3750 euros.

Finalement, nous avons proposé d’effectuer un virement instantané du montant de la note sur le compte personnel d’un salarié afin qu’il paye à notre place en insérant sa carte bancaire. La femme en rouge accepte - mais que quelqu’un d’autre qu’elle le fasse - car elle nous indique avec bonne foi que « ça, elle ne sait pas faire ». La seule chose à faire était de réceptionner un virement et payer avec sa carte bancaire par la suite ; ce qui ne nécessitait aucune action de sa part en clair. Léo s’est alors porté volontaire et nous avons pu payer, et partir.

Alors, certes, nous n’avions pas deux moyens de paiement sur nous et nous remercions la policière en rouge pour ce rappel à la loi, mais le problème technique n’est en aucun cas imputable aux clients ni aux serveurs.

Puisqu’il semble ici commun d’émettre des leçons de morale pleines de culot, nous espérons alors que cette serveuse apprendras à se servir de l’application bancaire installée sur son téléphone, mais surtout le Code du travail, avant de faire la morale à des clients, étudiant le droit par ailleurs, venant deux fois par mois.

L entrecôte et sa sauce toujours 1 valeur sûre les profiteroles 1 regal